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COMMENT VIVRE SANS M'ALCOOLISER?SANS BOIRE,JE NEXITE PAS.TOUT ME FAIT CHIER,JE ME SANS SEUL J'AI ESSAYE DE RESTER ABSTINENT APRES DES HOSPITALISATIONS CELA A MARCHE (PAS LONGTEMPS) MAIS CELA VOULAIS DIRE FINI LES POTES,LES MOMENTS SOI-DISANT CONVIVIALE DE L'APPEROTS (QUAND CELA FINISSAIENT PAS AVEC LES POMPIERS).QUE FAIRE A PART DE BOIRE QUAND JE SUIS SEUL CHEZ MOI IL ME FAUT TOUJOURS UN OU PLUSIEURS VERRES POUR POUVOIR DEMARRER LA JOURNEE APRES SA, JE PEUX COMMENCE A ATTAQUER. LA J'AI L'IMPRESSION D'EXISTER FINI LES ANGOISSES,LES PROBLEMES ETC...[/b]

Je comprends se que vous ressentez.J'ai vécu des années avec l'alcool. Tout tournés autour du produit et comme on dit, l'alcool était mon oxigéne.Sur, pendant mes périodes de sevrages a l'hospital ou en poste cure, il y avait de la motivation, de l'éspoir, j'étais plus ou moins à l'abrit (surtout de moi même).Puis aprés je me retrouvais livré à moi même plus d'infirmières, des personnes qui se soignaient avec moi pour partager des émotions que j'avais retrouvé. Donc j'étais seul, il a fallu que je rapprenne a vivre. Combler le temps que l'alcool me prenais avec toute ses magouilles.Il fallait que je m'occupe. Me faire plaisir, me battre pour repprendre mon travail, récuperer mon Permis de conduire, et pleins d' autres choses. Bien sur cela était trés dur. Si moi avec l'abstinence j'ai commencé à changer, retrouver une personnalité, l'éxterieur lui n'a pas bougé. Je me suis reconstruit petit à petit c'est dur et long au jour d'aujourd hui, le matin je me léve content de vivre et quand je suis seul je pense à moi avec des loisirs par exemple, et il m'arrive de partager les problémes que je peux rencontrer avec des personnes qui arrivent à me comprendre et sans jugement . Je reste a dispo en esperant que mon témoignage peut vous apportez du positif a fin de ne plus vivre cette solitude que j'ai trés bien connu!!!

Nous nous sommes tous dis la même chose que toi :Comment vivre sans alcool ? Il me donnait l'impression d'ètre plus sure de moi, d'oser faire et dire certaines choses que je n'aurais peut-ètre pas osés sans lui. Mais en réalité, est-ce vrai? Tout cela je le fais aussi bien maintenant, mais certainement pas de la même manière. Tu te sens seul si tu n'as plus les copains de bistrot, mais sont-ils vraiment de bons copains s'ils t'entrainent là ou tu as décidé de ne plus aller? Si tu as fais une cure, c'est pour te sortir de ce fléau, pour te guérir, tu l'as décidé toi-même et tu gaches tout en continuant le même vie.
Comme le dit bien Grincheux, sortir de cure et se retrouver san soutien médical et ne plus ètre entouré de malades comme nous est très difficile. Pour moi, la solution à mon abstinence à été le Groupe, pouvoir parler avec des malades alcooliques comme moi, abstinents depuis longtemps ou pas, mais pouvoir parler de son problème sans ètre jugée, critiquée, regardée de travers (comme le font toutes les personnes qui nous entourent parce que tout simplement elles ne connaissent pas notre maladie) Alors n'hésites pas et écris- nous, nous essaierons tous de te soutenir comme nous le pouvons pour que tu persistes à vouloir te débarrasser de ce mal qui a été le nôtre aussi . Bon courage et à bientôt sur notre site.

Bonsoir Nicky,
Je vois que tu es toujours aussi asssidû à notre forum.
Comment vas tu?
Es ce que tu tiens toujours le coup face à notre ennemi commun?

Bonsoir Nicky,
Non je ne suis pas l'administrateur de ce forum juste un utilisateur occasionnel, pour ce qui est de mon abstinence je continue mon chemin tranquillement.
Avec toutes mes amitiés.

OK, bonne continuation sur le chemin de l'abstinence!!!
Bonne soirée

Amicalement

OK OK .... Complètement d'accord avec toi !

Il importe d'intégrer les nouveaux moyens à notre portée pour s'aider - se maintenir là où nous sommes arrivées avec peine souvent !

Bises cordiales à "l'artiste"... bonne inspiration !

Bonsoir le Renard et vous tous et toutes!
"Laissez le temps au temps" est ma devise pour aboutir à une "nouvelle intégration" !!!

Merci pour le souhait quant à l'inspiration d'une nouvelle oeuvre artistique!

Bisous tout le monde!



"Les coquelicots" (huile sur toile)

Bonne soirée, faites de doux rêves!

J'ai 42 ans, je bois, je bois tous les jours, je bois beaucoup... au détriment de ma famille, de ma vie professionnelle, de mon couple... Je bois et pourtant je n'ai plus envie de boire.
J'en parle parfois avec mon mari, disons plutôt que c'est lui qui m'en parle. C'est aussi souvent l'occasion d'une dispute. Je n'ose pas encore ouvrir la porte du sujet à l'extérieur, j'ai vu un spy il y a quelques années, le bilan est que c'est probablement génétique. La belle affaire, mon oncle est mort l'année dernière, alcoolisé comme pas possible. Je crois au poids de la génétique, mais je n'aime pas l'idée de reporter mes problème sur mon arbre généalogique... trop facile... Avant de boire, j'ai fumé des pétards, des tonnes de pétards. J'ai un problème point barre.
J'ai lu le livre de olivier Ameisen, le dernier verre et acheté sur internet, le baclofène. Je commence aujourd'hui. J'ai la frousse!

Bonjour Manuela,

Désolée de te lire si tard et de répondre à ton mail que je découvre ce jour, car je ne venais plus sur ce forum par manque de temps et par multiplications d'échanges sur des forums et d'autres messageries sur lesquelles je jongle. J'espère que tu me liras malgré tout.
Comme toi, j'ai eu de sérieux problèmes d'alcoolisation, avec nombreuses périodes d'abstinence et de rechutes, mais j'ai réussi à m'en sortir en franchissant le pas de l'association "alccol assistance - croix d'or" de Vanves, grace à laquelle j'ai pu enfin avoir le déclic, qui dure depuis plus de 7 ans (réunions d'un groupe de paroles le mercredi soir). Je ne croyais pas pouvoir arrêter, ayant essayé les psys, les médicaments, l'auto-contrôle, l'hypnose, ..... Mon nouveau statut de jeune grand-mère il y a 7 ans et l'arrivée d'une adorable 1ère petite-fille a été un déclic complémentaire et je peux te confirmer que je ne bois plus d'alcool, que ça ne me manque pas (je n'aimais pas çà) et que j'ai retrouvé confiance en moi. Il n'y a pas de gènes de l'alcoolisme, c'est juste un fléau national et international, et on a tous dans nos familles des gens qui ont bu ou qui boivent (moi, des grands-mères, une mère, un mari, ma soeur, ....). Ce n'est pas une fatalité mais une fragilité. Peut être aurais-je essayé le baclofène, comme toi. As-tu des bons résultats ? Es-tu suivie par un médecin ? Bon courage et au plaisir de te lire et de répondre à tes questions.